La HAS publie dans sa série de « Flash sécurité patient », des retours d’expérience en lien avec les analyses des EIGS déclarés sur le portail national de signalement des évènements sanitaires indésirables.
Deux thématiques sont à l’honneur pour émettre des rappels importants :
- Erreurs diagnostiques dans les services des urgences – Diagnostic manqué, urgence aggravée

Chacune des étapes nécessaires au diagnostic telle que le recueil, l’intégration et l’interprétation des informations est sujette à des erreurs diagnostiques.
L’erreur diagnostique se défini comme une erreur en tant que telle, un retard, ou encore, l’absence de communication du diagnostic au patient.
Très souvent multifactorielles, les erreurs diagnostiques combinent des causes systémiques et cognitives.
Pour prendre connaissance du document, cliquez ICI.
Pour aller plus loin, consultez l’Analyse des déclarations de la base nationale des EIGS en lien avec les services des urgences, publié par la HAS, en cliquant ICI.
- Neuroleptiques à action prolongée (NAP) : les NAP, parfois ça dérape

Afin de prévenir la recrudescence de symptômes psychiatriques ou d’hospitalisation suite aux surdosages ou sous-dosages, les OMéDIT rappellent les principales recommandations de bonnes pratiques du traitement par neuroleptiques à action prolongée, qui présentent des schémas thérapeutiques et des durées d’actions très divers.
Pour prendre connaissance du document, cliquez ICI.
- Rupture de stock de produit de santé. Ne rompez pas le contact ! »

L’ANSM émet des préconisations pour maitriser les erreurs de prescription, d’administration ou d’utilisation, lors de mise en place de mesures compensatoires en cas de rupture de stock de médicaments ou de dispositifs médicaux.
Afin d’éviter ou de limiter les conséquences de EIGS, prenez connaissance du document, en cliquant ICI.

